Ines Léonarduzzi : une conférence inaugurale à ne pas manquer
Le jeudi 10 septembre à 10h30, durant 30 minutes, Inès Léonarduzzi lancera la 8ème édition de #GEN sur le thème “Pourquoi l’écologie a besoin de la technologie”. Un grand moment à ne manquer sous aucun prétexte.
L’écolotech est une thématique du digital qui est prégnante dans nos sociétés. Si pour Ines Leonarduzzi le progrès écologique et social ne peut se passer de la technologie, il est important de réfléchir à l’impact écologique du numérique. C’est d’ailleurs cette réflexion qui l’a conduite en 2016 à créer son entreprise “Digital for the Planet”.
Cette experte en stratégie numérique, en Intelligence artificielle et blockchain a été identifiée par le Magazine américain Forbes, comme l’une des 90 femmes qui comptent dans la Tech et selon la “Tribune” comme l’une des 100 femmes qui construiront la France de demain.
Conférencière de renom, elle parcourt la planète pour éveiller les consciences. Elle a été récemment lauréate du prix “Woman 5 Climate du C40 Cities 2020 et Young Leader Franco Britannique.
Autant à l’aise devant des auditoires variés comme ceux de l’OTAN et de l’ONU, elle se définit néanmoins comme “une rêveuse, passionnée de lectures et de connaissances”. Ses multiples activités font d’elle une “slasheuse” – terme anglais définissant des personnes généralistes et polyvalentes –
Elle a récemment déclaré dans le journal “Business O’ Féminin” que “la beauté d’un projet, c’est quand vous avez la juste dose de pragmatisme et de poésie. Ça veut dire que vous parvenez à faire rêver et rassurer à la fois. Mon métier c’est d’inventer des technologies, trouver des solutions et emmener les gens à comprendre une vision, pour qu’ils se l’approprient. Je suis très ancrée dans le présent. Chez Digital For The Planet, on se projette dans le futur, c’est dans le seul but de nourrir le présent. Le futur c’est aujourd’hui. Pas demain. Donc mon ambition, c’est ma rigueur d’aujourd’hui. »
Ardente défenseuse de la place de la femme dans la société, elle a fondé l’association “The WIT” pour l’entraide professionnelle entre femmes. Elle a également signé “Nos folies Numériques : du bon et du mauvais usages des nouvelles technologies » aux éditions “Allary”.
